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Les 7 règles d’or d’une campagne e-mailing

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Règles d'or emailing
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Règles d'or emailing
22

avril
2016

Un internaute reçoit en moyenne 416 emails, alors comment faire pour se démarquer de ses concurrents ? Il suffit simplement de respecter ces quelques règles d’or de l’e-mailing et de revenir au ba.-ba en matière de bonnes pratiques d’e-mailing.

1 – L’expéditeur : une adresse stratégique pour inspirer confiance

Face à la menace du Spam, l’internaute est méfiant. Et la première chose que cet internaute regarde pour s’assurer qu’un émetteur est sérieux, c’est son adresse mail. Le libellé de l’émetteur capte l’attention du destinataire tout en le rassurant. Il faut bannir le fameux « no-reply@nomdelasociete.com », trop impersonnel et éviter les adresses emails trop génériques (info@…, webmaster@…, contact@…). Le plus simple reste d’utiliser le nom de sa société ou de sa marque : nomdesocie?te?@routeur.com, ou encore newsletter@nomdevotresociete.com, ou toute autre adresse en rapport avec le contenu de l’email comme « commande@nomdelasociete.com ».
Enfin… Le saviez-vous ? Les prénoms féminins améliorent les taux d’ouverture…

2 – L’objet : la première impression

Pour qu’un mail soit ouvert, encore faut-il que l’utilisateur ait envie de l’ouvrir… Cela paraît évident ? Pourtant, les erreurs dans la conception de l’objet sont encore trop nombreuses, condamnant des milliers de mails à finir dans des corbeilles sans être ouverts… Il convient de rappeler les bases : un objet trop long a? moins de chance d’être lu.

Chez EmailBidding nous avons observé que la longueur idéale d’un objet de mail était de 8 mots. Pour être plus plus précis, cet objet de mail ne doit pas excéder 36 caractères avec un soin particulier à accorder aux 30 premiers qui sont cruciaux. Et pour contourner la boîte de spams, il faut éviter de débuter par des chiffres (par exemple, « 50% de remise »), et ne pas abuser des majuscules ou de la ponctuation.

Enfin, attention aux évidents « spam words » (« sexe », « gratuit », « promo »…)

3 – Le header : “where the call to action happens…”

Le pré-header est tout aussi important que le header. C’est dans ce chapô que l’on pourra inscrire un texte additionnel à l’objet, positionné entre l’en-tête et le corps du mail. Il est crucial car certaines messageries web ou mobiles (comme Gmail) les font apparaître tout à côté de l’objet, dans les aperçus des messages, sans même avoir à les ouvrir. C’est également dans le pré-header que l’on pourra inscrire un (indispensable) lien vers la page miroir. Car si vous vous posez encore la question, sachez que oui, malgré? tous vos efforts, l’affichage de votre email sur certaines messageries peut s’avérer surprenant…

Enfin, il est recommandé de proposer un lien d’ajout a? la liste de contact. Si l’utilisateur accepte, cela améliore considérablement la de?livrabilite? et l’impact visuel, car les images des prochains messages ne seront plus bloquées.
Une fois ces règles de bases respectées, le header, accompagné du logo, doit servir à mettre en valeur un call to action clair, une offre promotionnelle, ou autre.

4 – Le corps de l’email : simplicité et hiérarchisation sont les clés du clic

Avant de commencer à construire le corps de l’email, il convient de rappeler deux principes.

  1. Le corps de l’email doit être cohérent par rapport à l’objet. Un contact déçu, trompe?, est un contact perdu.
  2. Tout le monde aime être connu et reconnu… Un message personnalisé aura plus de chance d’attirer l’attention de son destinataire.

Cela étant dit, il faut avoir en tête que pour la construction du corps de l’email, la simplicité fait loi. Nombreux sont ceux qui sont tentés d’en dire plus, d’en dire trop… Il sera toujours temps de développer sur le site web une fois obtenu le sacro-saint clic. Une bonne hiérarchisation de l’information est également cruciale : les destinataires décident en quelques secondes s’ils vont ou non cliquer sur un message.
Simplicité toujours : un message doit correspondre à un seul appel à l’action. C’est pourquoi il est important de définir en amont son objectif. Un ou deux liens adéquats et habilement intégrés suffisent à conduire l’internaute là où l’on souhaite qu’il se rende…

5 – Le footer : émetteur honnête = internaute confiant

Outre les incontournables coordonnées, mentions légales et autres politiques de confidentialité, le message clé du footer est le lien de désabonnement. Il ne sert a? rien de vouloir absolument conserver l’adresse email d’un internaute qui ne souhaite plus recevoir de newsletters. Au mieux il ne les ouvrira plus ; au pire, il déclarera l’émetteur comme SPAMMEUR, et c’est sa de?livrabilite? qui va en pâtir.

6 – Le ratio images / texte

Il est important d’avoir un ratio images/texte qui soit au minimum de 60/40. A savoir également : les GIF animés ne sont pas lus par Outlook 2007. Il faut éviter les textes en image et ne pas utiliser d’image en background.

7 – EmailResponsive : l’indispensable adaptabilité au mobile

37% des Emails ont été ouverts sur mobiles en 2014 (31% en 2013). 41% des mobinautes européens ferment ou effacent leurs emails non optimisés. Pour répondre à cette demande croissante et pour une meilleure lisibilité, il est conseillé que le gabarit Email soit « responsive ». Le format s’adaptera à tous les devices et ne demandera qu’une seule intégration.

* Source RADICATI GROUP, INC, Email Statistics Report, 2014-2018
* Source Raffles Media

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